L’arrivée à Matam des kits d’enrôlement des électeurs coïncide avec les menaces de perturbation des opérations d’enrôlement des électeurs à Conakry et dans les régions.
Les superviseurs des opérations de saisie menacent de saboter le lancement des activités. Les superviseurs en colère exigent des motos de qualité dont le prix d’achat est de 7.500.000 fg contre des motos de 4.000.000 fg proposées aux agents techniques et opérateurs de saisies. Pour le moment, la CENI n’a pas réagi.