Il s’agit de M. Noël Mouste Ingénieur en génie civil spécialiste en structure et Directeur général de Céram Guinée.
Lisez !
Je venais de chez ma mère pour me rendre à mon domicile.
Arrivé sur la route de Jean Paul II direction carrefour de Taouyah, juste quelques mètres des rails se promenaient deux jeunes dont l’un est militaire au milieu de la route.
L’un d’eux me fait dos je lui demande de me libérer le passage mais il n’a pas réagi.
Finalement j’ai pris mon mal en patience pour me trouver un passage.
Arrivé à leurs hauteur j’ai entendu un des jeunes murmurer et je lui demande de répéter ce qu’il venait de dire .
Il me répond de manière très vulgaire à savoir « vous vous ne pouvez pas klaxonner ? »
J’ai cherché de leurs faire comprendre que c’est leurs vies et qu’en principe j’ai pas besoin de klaxonner car ils ne doivent pas être au milieu de la route. Un des jeunes me répond tu penses être dans ton salon ?
Je l’ai dit que c’est juste un problème de civisme et non de salon. Au même moment les injures ont commencé à pleuvoir de la part de deux jeunes à mon endroit.
Les femmes et les Taxis motos présent sur les lieux m’ont demandé de ne pas répondre et de partir. Je me suis embarqué dans ma voiture pour le départ celui qui se réclamait commando à bondit sur ma voiture jusqu’à cassé le par brise. Ensuite il descend pour m’ouvrir la porte en compagnie de son frère pour me donner des coups de pieds tandis que j’étais assis dans ma voiture avec ma ceinture.
Les boutiquiers, marchants et motos taxi sont venus pour me porter secours et ont appelé la police.
Arrivé au commissariat hurbain de Taouyah et après les témoignages des personnes présentes le commissariat dans sa conclusion de son rapport il résulte que j’ai raison . C’est par cette suite que j’ai fait ma plainte contre les enfants de la famille Diarre pour :
1 dégradation de bien privé
2 intimidation
3 agression physique
4 vol
5 coups et blessures volontaires.
Après une nuit passé en garde à vue , les parents des jeunes ont commencé à venir pour présenter des doléances que je vous expliquerai prochainement .
J’ai demandé la réparation de ma voiture avant toute négociation et accepter que les enfants rentrent avec un garant pour revenir le lendemain.
L’accord était que le vendredi à 13 heure la voiture devait être prête. Arrivé au commissariat à 13 heure je constate que ni la voiture ni les jeunes ne sont au poste de police. J’ai demandé à l’officier en charge du dossier où sont les jeunes ?
Pourquoi ne sont ils pas au commissariat ?
L’officier me dit qu’ils étaient là ce matin ils sont partis réparer le véhicule.
Je lui ai dit que ce n’était pas la convention car il a été dit de rentrer avec les jeunes et venir le matin et que c’est le tôlier qui devrais s’occuper des réparations.
À mon fort étonnement sur rendez-vous avec l’officier en charge du dossier je me rend compte que les jeunes n’étaient pas encore présent et me dit que les dossiers seront chez le procureur le lundi matin au tribunal de premier instance de Dixinn.
Je lui demande ma voiture il me dit que la voiture sera à la disposition du procureur en compagnie des jeunes. Je lui ai dit que les jeunes devaient rester au temps que ma voiture est à la police.
Pour la suite je vous expliquerai le lundi.
Je vous remercie pour la lecture et
vous souhaite une bonne réception.
Noël Mousté