La grâce présidentielle accordée à des détenus politiques c’est bien dans la mesure où en matière de droit la liberté est un principe et la détention est une exception.
D’ailleurs, pour une meilleure politique de désengorgement du milieu carcéral pour atténuer le coup de la surpopulation carcérale j’estime que ce droit de grâce doit être élargie à tous , surtout au plus nécessité.
Je pense aux personnes intéressées depuis des longues années mais, qui pourraient n’est plus représentés des menaces vis à vis de la société en terme de sécurité. Et qui ont forcément changer de comportement qui était contraire à la loi.
Ceci, je pense à des gens comme le commandant AOB et plusieurs personnes anonyme puisse que la loi leurs offres cette chance qui ne peut être obtenue que le président de la République alors, nous lui demandons humblement pour la prochaine fois qu’il fasse gracier des centaines de milliers de personnes incarcérées un peu partout à travers le pays qu’elles soient détenues pour des raisons politiques ou des prisonniers de droit commun.
Cela pourrait non seulement faciliter la gestion et le travail au personnel de l’administration pénitentiaire tout corps confondu mais surtout réduire drastiquement le coup en terme d’investissement sur la population carcérale en termes de nourriture , de logements, facilite impérativement le travail Au personnel de santé en milieu carcéral. Car, la question de santé en général n’est pas qu’un droit pour un détenu mais, une question de dignité humaine. Encore une fois, il faut promouvoir la liberté et privilégier les peines alternatives à l’emprisonnement.
C’est très difficile, quand je rencontre en longueur de journée des pauvres femmes au foyer des vieilles personnes parfois perpétuellement inquiète pour leurs proches en détention provisoire parfois trop prolongée qui viennent tous les jours envoyer de la nourriture, rendre par fois tout ça c’est pas facile pour la vie des gens surtout que la conjoncture n’est favorable à personnes.
En réalité, y a assez de conséquences relatives à la détention d’un côté, les familles ne sont pas tranquille moralement et physiquement de l’autre côté, leurs économies déstabilisées.
Pour terminer, j’invite davantage les autorités judiciaires de faciliter l’organisation des procès en instance, à mettre en place les juges d’application de peine, surtout offrir aux détenus qui n’ont pas les moyens de s’offrir un avocat.
Il faudrait qu’on commette des avocats pour ceux-là. C’est une question de droit. Notre code de procédure pénale en fait mention. Pour la grâce présidentielle, on attend beaucoup plus monsieur le Président de la République !
Par Algassimou MC DIALLO président de l’ONG SHC Santé Hygiène Carcérale !
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