C’est triste pour Haïti, pour l’Afrique, pour l’Amérique, pour le monde et pour la famille biologique du feu Président Jouvenel Moïse et de son épouse qui viennent malheureusement de mourir au pouvoir dans des conditions si violente qui violent leur droit inaliénable á la vie comme chacun de nous.
Nous présentons nos condoléances aux familles des victimes de cette barbarie et au peuple Haïtien tout en demandant des enquêtes sérieuses et de la justice pour mettre fin á ce cycle de violences politiques qui minent ce pays amis.
Une telle tournure devrait encourager chaque « dirigeant » du monde et chaque « juge » á mettre au premier plan « la préférence inclusive » et « l’application impartiale » de la loi » dans la résolution des crises politiques dans nos pays. Cela est d’autant important que l’impunité face aux crimes économiques, la mauvaise interprétation de la loi électorale et le non respect du calendrier électoral Haïtiens sont l’une des causes principales de l’instabilité politique et de la violence qui caractérisent aujourd’hui la crise dans ce pays historiquement important pour les peuples Noirs d’Amérique et d’Afrique.
Keamou Bogola Haba
Sécrétaire Exêcutuf de l’UNAD, membre de l’ANAD.