Deux places accordées à la presse guinéenne au sein du CNT (conseil national de la transition). Deux personnes issues des différentes associations de presse ont été déjà désignées à travers un vote qui a eu lieu hier lundi, devant les journalistes à la maison de la presse.
Chose, que fustige le syndicat de la presse professionnelle Guinée (SPPG) qui se sent exclu par ce qu’il appelle « patronat», dans les instances des prises des décisions liées aux journalistes.
Il compte pas se limiter là, d’ailleurs, demain mercredi 17 novembre 2021, ce syndicat déposera dit-t-on sa candidature au ministère de l’administration du territoire et de la Décentralisation.
Une annonce faite devant les medias ce mardi 16 novembre 2021 à Conakry .
« en compagnie de toutes les organisations qui composent le collectif, nous serons derrière le SPPG au MATD pour le dépôt de sa candidature à 12h », indique Sekou Pendessa secrétaire général SPPG.
Pour ce secrétaire, tant qu’il y a deux places dans le monde du travail, l’une revient au syndicat et l’autre au patronat .
« C’est pourquoi, jamais dans le monde, on accorde des places avec des nombres impairs. C’est toujours en nombre pair. Soit c’est deux , quatre, huit places… pour qu’il y ait parité dans le partage entre le syndicat et le patronat. Raison pour laquelle nous allons déposer notre dossier et nous irons au CNT », persiste Sekou Pendessa.
Djiwo Bah
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