Ce matin, sur les réseaux sociaux, j’ai écouté une belle réflexion d’une dame que je vais appeler Jeanne. Son époux lui a expliqué que ‘Corona’ est un mot espagnol qui signifie ‘Couronne’. Donc ‘corona virus’ signifie ‘virus couronné’. Prononcer le nom ‘Coronavirus’ à longueur de journée, n’équivaut-il pas à lui attribuer une couronne, et par conséquent la royauté ?
Jeanne rappelle qu’à l’époque, il y avait en Côte d’Ivoire un carrefour qui portait le nom de ‘Carrefour de la mort’ tellement il y avait de graves accidents à cet endroit. Et puis un jour, des chrétiens ont décidé de baptiser ce carrefour ‘Carrefour de la Vie’. Ils y ont même posé une pancarte. Et depuis ce jour, ce carrefour n’a plus jamais été un carrefour mortel.
Jeanne propose donc d’appeler le ‘Coronavirus’ ‘Caidovirus’. Caido (prononcé Caïdo) est un mot espagnol qui signifie déchu. Donc ‘caidovirus’ signifie ‘virus déchu’.
Chaque fois que nous prononçons le mot ‘coronavirus’, spirituellement, nous attribuons une couronne à ce virus pour qu’il règne sur nous. Et comme nous le constatons, le virus règne aujourd’hui en maître. C’est lui qui conditionne toutes nos actions et décisions.
Je partage la réflexion de Jeanne, car dans le monde spirituel, le nom a une puissance. Il traduit soit un caractère, soit un programme de vie ou encore un évènement survenu dans la vie d’une personne. La Bible nous enseigne qu’Abram est devenu Abraham, car Abraham signifie ‘Père d’une multitude’ et Abraham est devenu le Père de tous les croyants. De même, Simon est devenu Pierre, la pierre sur laquelle Jésus a bâti son Eglise. Dieu a changé leur destinée en commençant par changer leur nom.
C’est pourquoi je voudrais inviter les leaders politiques, religieux et communautaires, les leaders de la télévision, des radios, de la presse et des réseaux sociaux, les artistes, les humoristes et toutes les personnes de bonne volonté, à poser un acte hautement prophétique en changeant le nom du ‘coronavirus’. Désormais, son nom sera ‘caidovirus’ parce qu’il est déchu à jamais. Ainsi, il ne régnera plus sur nos vies.
*Arnaud KOUASSI*